26 août 2014
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FORCE BASQUE, PELOTE BASQUE et SAUTS BASQUES... EN ESPADRILLES
Mauléon, capitale de l'espadrille, a offert comme chaque année une belle fête du 15 août.
L'espadrille et la sandale étaient reines bien évidemment, avec démonstratuion de fabrication dans des ateliers installés, sous chapiteau, sur la place du fronton. Egalement des ventes réclames en direct d'usine. Mais aussi un marché artisanal qui tous les ans prend de l'ampleur.
Côté animations le très nombreux public a pu assister à des parties de pelote basque, à des joutes de force basque avec, notamment, le célèbre soka tira (tir à la corde) ou lever de charrette...
Danses et sauts basques ont apporté de la couleur et du rythme, lors d'intermèdes, tout au long de cette journée de fête !
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Lire également : (cliquer sur les 2 reportages ci-dessous)
- "Le beau mariage de la fête (de l'espadrille) et de la noce (médiévale)"
- "L'espadrille reine du 15 août"
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Mauléon-pays de Soule
26 août 2014
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Deux jeunes bergères à l'honneur
Tardets organise tous les ans, dans le cadre de ses fêtes patronales, la plus ancienne foire au fromage du Pays Basque : Euskal herriko guzna feida zaharrena.
Une foire trait d'union entre les deux provinces du Pays Basque et du Béarn tout aussi renommées l'une que l'autre, d'Ossau à Iraty, pour la qualité de leurs fromages.
A l'occasion de cette édition 2014, le jeudi 21 août, parmi les lauréats du concours de fromage de brebis, nous avons relevé dans le palmarès les noms de deux jeunes bergères qui ont décroché le premier prix.
L'une, pour le Pays Basque, Pantixika Teillerie, de Bussunarits, près de Saint-Jean-Pied-de-Port.
L'autre pour le Béarn, Marie-Claire Hondagneu, qui partage son activité entre ses bergerie d'Oloron et d'Arette.
La relève est assurée !
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Marie-Claire HONDAGNEU (sa soeur Stéphanie à sa droite) a obtenu le premier prix du fromage dans la catégorie Béarn
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Pantxika TEILLERIE, premier prix du concours de fromages dans la catégorie Basque
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La démonstration de fabrication du fromage
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LE CONCOURS DE TONTE DES BREBIS SUR LA PLACE PUBLIQUE
Aux ciseaux (à l'ancienne)
... ou à la tondeuse électrique
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Mauléon-pays de Soule
6 septembre 2011
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16 août 2009
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Mauléon-pays de Soule
1 mai 2009
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Haut lieu sur le chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, la commune de l'Hôpital Saint-Blaise a eu l'excellente initiative d'inviter les propriétiaires de gîtes et de chambres d'hôtes de Béarn et Soule.
La merveilleuse chapelle, un joyau d'exception inscrit au patrimoine mondial de l'UNESCO, était le point central de ce rendez-vous avec la présentation, par petits groupes, sous l'égide d'Ixa et Corinne, de l'animation permanente que les touristes sont invités à découvrir tous les jours de 10 heures à 19 heures : son et lumière, musiques et chants basques, projection de clichés sur les parois,
Les Ecuries du Prince Noir (centre équestre installé face au camp de Gurs), la base ULM de Navarrenx, Aquitaine-Montgolfière de Laurent Bourguet (Angous), des producteurs fermiers, les truites des torrents (Licq-Athérey), la bière basque, un éleveur de lamas, étaient également au rendez-vous de cette journée.
Cerise sur le gâteau, les jeunes propriétaires des deux très réputés restaurants du village, Isabelle et Yvan Ferry, de l'Hôtel-restaurant des Touristes, Maialen et Laurent Irigoyen, de l'Auberge du Lausset, ont accueilli chaleureusement leurs hôtes basco-béarnais et leur ont servi, en fin d'après-midi, un délicieux buffet dans les dépendances de l'ancienne ferme du moulin communal.
Cette réunion conviviale a permis aux hébergeurs ruraux de mieux connaître et apprécier ce petit village niché dans un écrin de verdure, aux confins du Pays-Basque et du Béarn, en bordure du Lausset. Ils pourront ensuite mieux en parler et en faire partager les charmes, aux vacanciers qu'ils accueillent.
Ce fut également l'occasion de rencontres et d'échanges intéressants entre acteurs du tourisme qui, à la lumière des expériences des uns et des autres, jugent nécessaire, même indispensable, de resserrer les liens.
J.S.
Les 2 bonnes tables de l'Hôpital Saint-Blaise :
- Hôtel restaurant des Touristes (Isabelle et Yvan Ferry) : tél. 05 59 66 53 04
- Auberge du Lausset (Maialen et Laurent Irigoyen) : tél. 05 59 66 53 03
Maialen, nouvelle patronne de l'auberge du Lausset 
Isabelle, la patronne de l'hôtel restaurant des Touristes, établissement qui devrait prendre, dans quelques temps, le nom de restaurant Le Saint Blaise
Yvan Ferry (hôtel-restaurant des Touristes) et Laurent Irigoyen (auberge du Lausset) ont préparé un délicieux buffet pour leurs hôtes
VOIR EGALEMENT LE PELERINAGE DE LA SAINT BLAISE EN CLIQUANT ICI
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Mauléon-pays de Soule
18 avril 2009
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Locomotive de l'opération "lgv-orthez-oui.com", le conseiller régional René Ricarrère était vendredi soir à Mauléon, à l'invitation du P.S. de pays de soule et de son secrétaire de section Jacques Herrera.
Une réunion ouverte à tous, transcendant les clivages politiques. C'est ainsi que le maire de Mauléon, Michel Etchebest, les conseillers généraux Jean-Pierre Mirande (Mauléon), Denise Saint-Pé (Sauveterre-de-Béarn), Jacques Pédehontaa (Navarrenx) étaient présents et prirent la parole pour soutenir l'initiative "lgv-orthez-oui" .
Jean-Pierre Mirande proposa d'inclure à ce dossier l'indispensable désenclavement de la Soule "sans lequel la culture LGV perdrait tout son sens".
Une unanimité s'est dégagée pour défendre énergiquement la gare TGV d'Orthez et pour demander, avec tout autant de vigueur, le désenclavement routier de cette zone allant de la Soule à Orthez.
François Maïtia, vice-président de la Région Aquitaine, et conseiller général de Saint-Jean-Pied-de-Port, retenu par d'autres obligations, était excusé.
Le député Jean Lassalle, également retenu par ailleurs, fit savoir par la voix de Jacques Pédehontaa, qu'il soutenait activement cette opération et qu'il participerait à une des prochaines réunions (celle d'Araujuzon ou celle d'Orthez).
Voir le site officel du collectif : www.lgv-orthez-oui.com
Voir également le reportage sur le lancement du collectif cliquer ICI
Prochaine réunion, le jeudi 7 mai, à 19 heures, au café Rey, à Araujuzon. Sont conviées toutes les personnes qui veulent que la gare d'Orthez reste une gare TGV. Les cantons d'Orthez, Salies, Sauveterre, Navarrenx, Lagor et pays de Lacq, Saint-Palais, Mauléon, Tardets sont concernés !
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Mauléon-pays de Soule
24 février 2009
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- Dimanche 22 février, c'était à Tardets, le grand carnaval de la Haute Soule : une mascarade où il est de tradition que le public vienne déguisé et emboîte le pas du défilé ouvert par les grosses têtes et animé par de nombreux groupes musicaux. C'était la fête dans les rues, sur la place du marché et dans les divers bistrots. Les façades des maisons et les vitrines, décorées, s'étaient également mises à l'heure de carnaval. Voir l'album photo : http://www.paysdesgaves.com/album-1313580.html
- En Béarn, le carnaval de Géronce, avait connu, une semaine auparavant, lui aussi un grand succès populaire, dans la tradition des corsos fleuris, avec un défilé tout au long de la vallée de Josbaig, d'Orin à Geüs en passant par Géronce et Saint-Goin. Voir l'album photo :
http://www.paysdesgaves.com/album-1309472.html
- Si Tardets et Géronce ont bénéficié du beau temps, Oloron a eu moins de chance. Le samedi 7 février, en raison de la pluie et de la neige, la cavalcade avait été annulée mais, grâce à un repli à l'espace Laulhère ,diverses animation purent se dérouler dans la liesse et en musique, notamment le fameux jeu de soule ... un sport qui serait l'ancêtre de notre rugby. Voir l'album photo : http://www.paysdesgaves.com/album-1302571.html
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1 février 2009
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Saint Blaise, que l'on implore pour guérir les maux de gorges ou pour protéger les troupeaux, est célébré, depuis la nuit des temps, à l'Hôpital Saint Blaise, le premier dimanche de février. C'est, paraît-il, le plus ancien pèlerinage basque.
La petite chapelle du XII° siècle, monument exceptionnel où s'harmonisent l'art roman et l'art mauresque, fête son Saint Patron tous les ans en présence d'une nombreuse foule venant de toute la Soule mais aussi du Béarn voisin, pour participer à la bénédiction des cierges, à la messe solennelle animée par les choeurs basques, et à la procession qui clôture la cérémonie.
L'abbé Haristoy, curé de Mauléon, qui présidait la célébration avec l'abbé Labayer, curé de Tardets, souligna dans son sermon que ces croyances populaires ont le mérite d'être l'occasion de rencontres, de retrouvailles, et qu'il était important de les transmettre aux jeunes générations, tout en gardant son libre arbitre et son esprit de discernement.
Voir l'album photo de la Saint Blaise 2009 : cliquer ICI
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Mauléon-pays de Soule
18 août 2008
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Pour voir le reportage de la fête de l'espadrille (et noces médiévales) 2009, cliquer ICI
En consacrant le 15 août à l'espadrille, Mauléon, capitale de la Soule l'une des sept provinces basques, veut démontrer qu'elle est, aussi et toujours, le fief de cette célèbre sandale constituée de tresse de jute et de toile. Un article léger et confortable, dans lequel le pied respire, prend ses aises... et attire les regards pour son chic, car désormais, la sandale de Mauléon est en phase avec la mode. Elle inspire les créateurs, de grands couturiers (comme Yves Saint-Laurent qui a été le premier) les ont même adoptées dans leurs défilés.
L'espadrille reste l'emblème de la cité souletine, et, sous l'égide d'un office de tourisme très professionnel, la journée du 15 août, au plus fort de la saison touristique, s'avère être la date idéale pour organiser une efficace opération de communication et de promotion.
C'est donc dans un esprit de fête et dans une ambiance de vacances, que l'espadrille, sous les feux des projecteurs médiatiques, a déployé tous ses atours et montré ses atouts.
Deux entreprises locales étaient les acteurs directs de ce rendez-vous : Megam et Prodiso.
Megam (famille Marzat) avait installé un atelier de fabrication avec, au final, la couture de l'espadrille à la machine. Une machine utilisée initialement pour coudre les sacs de patates (pour fermer le fond du sac) et qui, bricolée, est devenue chez les artisans et industriels mauléonais la machine que l'on attendait pour coudre les sandales.
Chez Prodiso (avec à sa tête Sandrine Lasserre qui a succédé à son père Jean-Pierre Errecart), on continue à privilégier le cousu main, comme autrefois, dans un souci de qualité et de solidité, et on a fait le choix de vendre en direct, dans les trois magasins de Mauléon (sous l'enseigne "les espadrilles de Mauléon" entre le café de l'Europe et le château d'Andurain), de Saint-Jean Pied de Port , de Tardets, et, en ligne, sur internet (www.espadrilles-mauleon.fr ).
Megam comme Prodiso se distinguent par l'effort de créativité en cherchant, sans cesse, à innover et à adapter les modèles aux goûts du public.
C'est grâce à ces sandales nouvelle génération, inspirées de la mode, et grâce à la préservation d'un savoir-faire garantissant la qualité, que la dizaine de derniers fabricants de Mauléon, engagés sous la marque Bigaya, tirent leur épingle du jeu pour résister à la déferlante des pays asiatiques qui, dès les années 80, a envahi le marché.
Du côté de l'Office du Tourisme, Chantal Guissagaïtz, n'hésite pas à enfoncer le clou dans la semelle de jute en déclarant à la presse : "Les espadrilles de Mauléon sont 10 fois plus solides que celle qui viennent du fin fond de l'Asie". Mais aussi 100 fois plus tendance !
Mauléon reste plus que jamais la capitale de la soule ... et de l'espadrille !
Jean Sarsiat
Reportage photographique de Jean Sarsiat. Droits de reproduction réservés.
Le cousu main de Sandrine 
C'est du sur mesure : à l'étal on choisit la couleur des lacets, et, sur le champ, des mains expertes se mettent en mouvement et manient l'aiguille pour le confort et le look de vos pieds, avec un brin de fantaisie
Démonstration par A+B de A à Z
L'entreprise Megam avait reconstitué, sous chapiteau, une chaîne de fabrication d'espadrille afin de montrer au public les différentes étapes d'une activité où le travail manuel et la dextérité tiennent une place importante.
Il ne manquait que le découpage du tissu (à la scie) et le banc de vulcanisation des semelles, en raison des outils trop lourds à déplacer
On enroule la tresse de jute pour donner forme à la semelle avec le nombre de tour qui détermine la bonne pointure
La semelle est placée dans un moule pour obtenir la forme définitive et le cliquetis de la machine se met en route pour la couture transversale qui donnera un produit compact et bien serré
On coud le tissu pour attacher l'avant à l'arrière afin de couvrir la totalité du pied
On encolle les bords du tissu et le tour de la semelle
... des mains agiles collent le tissu à la semelle
Après le collage, la machine à coudre entre en action pour fixer, définitivement, avec du fil coton, le tissu à la semelle
Après la couture à la machine, une piquée d'aiguille et un coup de ciseau pour le point d'arrêt. L'espadrille est terminée !
Gros succès de la vente en direct
Egalement des sacs en harmonie avec les espadrilles
Tradition basque et marché du terroir
Bienvenue chez les basques à nos amis les ch'tis
Bien dans ses espadrilles sous un coin de parapluie 
La pluie a, hélas, perturbé la fin de journée du 15 août. Un concert de parapluies s'est déployé apportant une note, inattendue, de coloris, de formes et d'originalité. Chaussés d'espadrilles, on avait de la couleur de pied en cap. Il n'y a que le ciel qui faisait grise mine
Le 6 septembre 2008 : l'espadrille aura son timbre !
Dans le cadre de sa collection "Portraits de régions " la Poste se prépare à sortir un timbre spécial "espadrilles" à 0,55€ qui est le prix de l'affranchissement du courrier normal (jusqu'à 20 grammes).
La sortie officielle est prévue pour le samedi 6 septembre 2008, à Laruns ou se tiendra, tout au long du week-end, le congrès régional du Groupement Philatélique d'Aquitaine. Pour marquer cet évènement il y aura une expo sur le thème de la nature ; la présentation de la fabrication par un artisan sandalier ; la sortie d'une enveloppe souvenir format américain avec le timbre "espadrilles" oblitération 1er jour ... et un concours international de lancement de l'espadrille ce qui risque de ne pas être très bien vu par les souletins qui on déjà déclaré à plusieurs reprises "que l'espadrille ne se lance pas, elle se porte !"
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