"Il y a un message très fort, beaucoup d'émotion et de réflexion. Le ton est moderne, très avant-gardiste, ça parle au plus grand nombre"  (Anna N'Guyen, sous-préfète)

Après les 8 saisons de chantiers des Guides de France, de 1993 à 2000, qui contribuèrent à sauver des ronces et de la ruine l'ancienne église romane du village (dénommée "la chapelle Saint Barthélémy"), 23 années se sont écoulées avant que prenne forme la "résurrection". Une nouvelle vie s'ouvre pour cet édifice désacralisé et inutilisé depuis 120 ans. 

Il a fallu imaginer un projet qui sorte des sentiers battus, bâtir et ficeler un solide  dossier, prendre rang pour obtenir des subventions, assurer les financements, trouver un exploitant expérimenté et innovant.

Vendredi 10 mars 2023 c'était l'aboutissement ! Le cabaret/spectacles La Fourmi Rouge a ouvert ses portes et a eu les faveurs du ruban tricolore. Cinq séances d'un quart d'heure, donnant un aperçu de la programmation,  se sont succédé tout au long de l'après-midi, accueillant chaque fois 150 personnes. 

Au moment des discours, Anna N'Guyen, sous-préfète d'Oloron, a tenu des propos particulièrement élogieux : "J'ai été subjuguée, bouleversée par le spectacle que je viens de découvrir. Il y a un message très fort, beaucoup d'émotion et de réflexion. Le ton est moderne, très avant-gardiste, ça parle au plus grand nombre...". 

La sous-préfète avoua avoir fait des recherches pour voir s'il y a d'autres exemples d'anciennes églises transformées en cabaret. Elle en a trouvé... de l'autre côté de l'océan, plus précisément au Canada. Elle ajouta avec un brin d'humour : "Ce n'est peut être pas un hasard si ça se passe à Laàs qui est un peu la pointe du nouveau monde dans l'ancien avec l'objectif avoué de mieux bousculer ce dernier pour le réinventer".

"Laàs ouvre la voie"

Les trois sénateurs des Pyrénées-Atlantiques, qui débarquaient d'une nuit agitée au sénat sur la réforme des retraites, avaient tenu à être présents. Denise Saint-Pé félicita Jacques Pédehontaà pour "la synergie qu'il a su créer autour de ce projet qui va permettre au territoire de Navarrenx, Salies, Sauveterre, Mourenx, de bénéficier de spectacles dont il était jusqu'à présent éloigné".

Frédérique Espagnac déclara être venue avec ses collègues sénateurs, par amitié, pour "accompagner un homme extraordinaire qui sait soulever les montagnes (...) ; aujourd'hui, aux Champs Elysées ou à la mairie de Paris, on connaît Jacques, je peux vous l'assurer !"

Pour Max Brisson, trop d'édifices restaurés "sont froids, sans vie" : "Les anciens fixaient l'église au coeur du village, au coeur de la vie, elle était un lieu de rassemblement,  elle avait une utilité. Le patrimoine ecclésial est devenu, aujourd'hui, un vrai sujet de réflexion pour le faire revivre. Je suis admiratif de ce qui est entrepris à Laàs."

Isabelle Antier, conseillère départementale d'Orthez, terre du sel et des gaves, n'hésita pas à qualifier Jacques Pédehontàa de "génie de création et d'imagination". 

Charles Pélanne, entouré de sa binôme Geneviève Bergé, conseillère départementale de terre des Luys et coteaux du Vic-Bilh, d'Anne-Marie Bruthé, conseillère départementale  de Bidache Saint-Palais, et de Fabienne Costedoat, conseillère départementale d'Artix, prit la parole au nom du département des Pyrénées-Atlantiques pour saluer "cette aventure humaine au service du territoire et de ses habitants". Charles Pélanne conclut : "Là ou il y a une volonté il y a un chemin. Jacques ouvre la voie.." La voie pour redonner vie à ce "patrimoine religieux en péril".

La sous-préfète Anna N'Guyen et le sénateur Brisson avaient évoqué le récent rapport du sénat réalisé suite à la sollicitation de maires désemparés face aux énormes coûts d'entretiens (et le peu de fréquentation) des églises. En France il y a 70 000 édifices religieux dont une majorité est en zone rurale et à la charge des collectivités publiques. Seulement 15 000 bénéficient d'une protection au titre des Monuments Historiques. "500 sont fermés, le culte n'y est plus célébré. 2500 à 5000 sont menacés d'être abandonnés, vendus ou détruits d'ici 2030", relate le rapport.

"L'escape church" inauguré en juin

Les regroupements des paroisses, la crise des vocations, les pratiquants de moins en moins nombreux, font que les églises se vident. C'est un vrai défi social auquel les maires sont confrontés ! On comprend mieux que ce qui est engagé à Laàs soit observé et suivi par de nombreux élus et non des moindres. D'ailleurs une chaîne de télé est en train de réaliser une émission sur ce sujet qui est de brûlante actualité. 

Le village de Laàs fait figure de pionnier. En parallèle de la "résurrection de la chapelle", un chantier est en cours dans l'église du village pour y accueillir un son et lumière, mais aussi un escape church en partenariat avec le château des Enigmes (le château de Laàs) et avec la bénédiction des autorités religieuses. "Cela faisait 80 ans que notre église n'avait pas vu d'entreprises. Le chantier suit son cours. L'inauguration aura lieu vers la mi juin" annonce le maire Jacques Pédehontàa.

Jean Sarsiat

Le message de Marie-Thérèse Marchand : En sa qualité de déléguée régionale des Guides de France, elle était venue à Laàs, de 1993 à 2000, pour organiser et superviser les chantiers des jeunes filles (Jeannettes, Caravelles et Guides) accourues de toute la France. Mme Marchand habite près de Bergerac et était présente à l'inauguration pour apporter son témoignage : "Nous avons fait revivre ces pierres durant 8 saisons, on a construit une histoire et respecté nos engagements, on a fait au mieux. Je suis heureuse de constater qu'il y a une belle suite. Le monde avance. Une autre page d'histoire s'ouvre, je vous souhaite de la mettre en couleur encore longtemps !"

Myriam Delcroix et  Patrice Larrieu aux commandes 

Myriam est la directrice artistique, et son mari Patrice, le directeur d'exploitation du cabaret/spectacles La Fourmi Rouge. Ils ont investi 300 000€ de leur poche, pour que techniquement et artistiquement l'équipement son et lumière, les décors et costumes, soient au top niveau. 

Il y a notamment des projections holographiques, des éclairages et mises en scènes ultra-sophistiqués, pour offrir un spectacle glamour, chic, sans vulgarité aucune. Certains tableaux évoquent de grandes et belles causes humaines. C'est engagé, c'est glamour, chic, sans vulgarité aucune.  Il y a de la poésie dans un environnement artistique de haut vol. Un voyage dans une autre dimension ! C'est tout simplement bluffant.

Le cabaret La Fourmi rouge sera ouvert de septembre à juin. Les mois d'été, il est envisagé d'y organiser du théâtres, des résidences d'artistes, des master class, des concerts ou autres spectacles... La salle est modulable, les gradins amovibles, ce qui ouvre des perspectives dans le domaine culturel.

Pour tout renseignement et avoir un aperçu ce qui est proposé, consulter le site : http://www.lafourmirouge.fr

Pourquoi le nom de Fourmi Rouge ? C'est pour rendre hommage aux 2 000 jeunes filles, Guides de France,  qui se sont succédées sur le chantier, durant 8 saisons. Elles étaient vêtues d'une chemise rouge, portaient un casque rouge, et sur les photos nous les revoyons, rangées en file indienne, comme des fourmis, pour acheminer les tuiles jusqu'à la toiture.

Camille Marimbordes, talentueux architecte

Il originaire de Dognen (la famille du charpentier Marimbordes). Architecte  à l'agence publique de gestion (Maison des commune), il a dû jongler avec les contraintes (et les atouts) des vieilles pierres qui ont une histoire,  et les exigences techniques (espaces et nouvelles technologies) d'un site  culturel de 2022.

Myriam Delcroix le félicita pour son écoute, sa créativité... et sa patience.

Régine Vergé, secrétaire de mairie

En poste à la mairie de Sauveterre-de-Béarn, elle assure également le secrétariat de la mairie de Laàs. Jacques Pédéhontaà lui fit la surprise de la mettre à l'honneur pour la remercier de sa précieuse collaboration et sa disponibilité pour conduire les dossiers dans le labyrinthe des rouages administratifs et financiers.

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Le cadeau surprise remis par François Saspiturry à Patrice Larrieu

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L'ouverture du cabaret/spectacles de la Fourmi Rouge dans l'ancienne chapelle 

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L'inauguration/réception à la Table de la Fourmi (salle communale aménagée et décorée)

Happy birthday... Max !

C'était le jour anniversaire de Max Brisson. Une chanteuse des Fourmis Rouges lui a offert un tendre Happy birthday avec des accents à la manière de Marylin !

Laàs-les-deux-églises : Les projets concernant l'ancienne et la nouvelle église est contesté  au sein d'une association "Bien vivre à Laàs" qui s'exprime dans sa page facebook.

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A Navarrenx, le mardi 7 mars, journée de rencontre de réflexion et d'action sur l'environnement, le développement durable et la transition écologique

Robert Cazala fut le capitaine de route de l'équipe de France de Jacques Anquetil et le lieutenant de Raymond Poulidor

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L'ancien champion cycliste Robert Cazala, décédé à l'âge de 89 ans, a eu les honneurs d'une belle cérémonie en présence d'un foule nombreuse venue l'accompagner dans sa dernière demeure, au cimetière protestant de Castétarbe qui domine la ville d'Orthez, face à la chaine des Pyrénées. Pour le sprinter, spécialiste des arrivée groupées, ce fut l'échappée vers un ailleurs, dans le dernier col de sa vie. Il est parti rejoindre le Diable rouge de Sauguis (Marcel Quéheille), Poupou (Raymond Poulidor), Maître Jacques (Anquetil), et le taureau de Nay (Raymond Mastrotto).

"C'est un peu de nous-même qui s'en va" :  l'ami de toujours, André Darrigade, champion du monde en 1959 et vainqueur de 22 étapes du tour de France, qui va fêter ses 94 ans en avril, était présent au premier rang de quelques anciens de l'époque. La génération suivante, de champions et personnalités du cyclisme, était également là, nombreuse,  pour rendre hommage à son aîné. Notamment le basque de Larressore, Francis Lafargue, qui est entré dans l'histoire du cyclisme pour son efficace présence, chez Banesto, auprès du quintuple vainqueur du Tour, Miguel Indurain, dont il était le manager, l'interprète et le confident et qu'il accompagna durant toute sa carrière.  Il nous a confié que c'est Cazala qui a  déclenché sa vocation : "Je me suis intéressé au sport cycliste grâce à Robert et son maillot violine de chez Mercier qu'il portait avec panache. C'est un coureur qui m'a fait rêver ! Ce fut la première piqûre, le virus du vélo je l'ai ensuite gardé pour la vie" .

Dans le peloton de la famille du cyclisme qui entourait de son affection et de son respect toute la famille du défunt, nous avons noté la présence  d'anciens coureurs qui ont brillé dans le rangs professionnels ou amateurs : André Darrigade, Gilbert Duclos-Lassalle, Gérard Capdeboscq, Hubert Arbes, André Romero, Manuel Manzano, Mario Sandona, Jean Bécaas, Roland Lalanne, Jo Pétré, Michel Bordères, Alain Lauroua, Guillaume Carricart, etc. Il y avait aussi Colette, la veuve de Raymond Mastrotto et son fils.  Sans oublier le double champion de France de cyclo-cross (et 6 fois deuxième), l'Orthézien Pierre Bernet, ami très proche de Robert Cazala en compagnie duquel il effectua des entraînements musclés notamment sur la boucle Mauléon, col d'Osquich, Saint Palais, et retour à Orthez.

Un modèle pour les jeunes générations

Ses anciens équipiers, et ses successeurs sur les routes de France et d'ailleurs, s'accordaient à dire "que Robert Cazala  était un exemple d'humilité, de gentillesse et de discrétion malgré ses succès et sa notoriété".  C'est, précisément, cette simplicité et cette grande humanité qui le rendaient encore plus grand et attachant aux yeux du public. 

Dans son homélie, la pasteure Marie-Françoise Vialard, de l'Eglise protestante d'Orthez, rappela que "Robert Cazala était resté simple et très modeste, pas question qu'il se vante de ses succès..."

Les petits-enfants, au nom de la famille, abondèrent dans le même sens et eurent des mots pleins de tendresse pour leur "Papy Bob" : "Il n'était pas la vedette toujours en tête. C'était un grand père attentionné et aimant, qui avait beaucoup d'humour et de gentillesse".

Le Dr Maurice Labat  rappela les moments de complicité avec son compagnon Robert,  lors des balades pédestres sur les coteaux de Castétis, les collines de Loubieng, les hauteurs de Castétarbe et de Bonnut. Egalement  l'étape (en voiture) du col d'Ahusky et son  réputé restaurant où son ami régnait en maître. Il évoqua aussi le souvenir du parcours Orthez-Saint Jacques de Compostelle que Robert Cazala effectua à vélo , l'année de ses 70 ans, en compagnie de Philippe Labat. Maurice Labat et son épouse assuraient l'intendance au volant de leur voiture...

L'ancien maire d'Orthez, René Ricarrère, très lié à la famille Cazala insista sur le modèle que représente Robert pour les jeunes générations : "Tu es entré dans la légende des Géants du Tour par ta volonté, ton talent, ton travail, ton envie de te dépasser, de te surpasser ! Quel exemple tu donnes à la jeunesse et à nous tous !... Ne jamais abandonner, ne jamais renoncer ! Tu nous a fait vibrer, craindre, applaudir, pleurer de joie. Tu nous as rendus fiers !"

Il préférait l'ombre à la lumière

Après une carrière professionnelle durant laquelle il resta fidèle à l'équipe Mercier,  cette marque de vélo,  consciente de la renommée du champion orthézien, lui confia en 1968 un poste de commercial pour couvrir la région.  Robert Cazala  reprit ensuite le magasin de cycles Sarrailh, que son beau-père lui céda rue de l'Horloge. Cette boutique de vente-exposition et réparations, il l'a  transmit, quelques années plus tard, à Alain Lauroua, qui était un brillant coureur cycliste dans les rangs amateurs. 

Après la parenthèse que fut la reprise d'un magasin de jouets rue piétonne, le fils de paysan resté très proche de la nature et n'oubliant pas ses racines, retourna au métier de la terre. Il créa sur Orthez, avec son fils Philippe,  une activité d'entretien de parcs et jardins où il trouva son bonheur, pendant 15 ans, jusqu'à la retraite.

Une vie bien remplie. Beaucoup de  discrétion.  Mais toujours une grande disponible pour donner des conseils, partager son expérience, rendre service. Préférant l'ombre aux projecteurs, il ne se mit jamais en avant. Et il fut étonné, presque gêné, lorsqu'en 2018, la ville d'Orthez donna  son nom à une rue dans le quartier des Soarns.

Des sprints d'anthologie

"C'était un bon grimpeur et il était redoutable au sprint.  Il avait une grande intelligence de la course. Très élégant sur son vélo, il avait du charme, ce qui lui valut un joli succès sur le bord des routes". En écoutant les anciens on prend conscience du grand champion que fut Robert Cazala, qui participa à 8 tours de France et à 2 vueltas d'Espagne. 

Ses 4 victoires d'étapes dans le Tour l'ont fait entrer dans la légende du cyclisme. En 1959, il prit le maillot jaune à Roubaix  grâce aux secondes de bonification de la victoire d'étape, acquise lors d'un sprint historique au cours duquel il devança Annaert ... de 10 petits centimètres ! Il fut déclaré vainqueur au terme d'un interminable suspense insoutenable. Il fallut avoir recours à la consultation du film de l'arrivée pour que les juges se prononcent ! L'Orthézien garda le maillot pendant 6 étapes  jusqu'à Bayonne.

En 1962, il remporta deux étapes. Celle de Saint Malo-Brest. Puis celle de Pau-Saint Gaudens, après les ascensions des cols du Tourmalet, Aspin et Peyresourde. Une victoire magnifique remportée au sprint  sous les applaudissements d'une foule immense. Le journal La Dépêche du Midi, dans son édition web de samedi, a rappelé cet exploit en illustrant l'article d'une grande photo de l'arrivée triomphale sur le circuit de Saint Gaudens où Cazala dominait Carlési, Gilbert Desmet et Anquetil (voir à la fin de ce reportage dans "l'armoire aux souvenirs")

Enfin, en 1961, ce fut la célèbre victoire lors de la dernière étape, au Parc des Princes. au terme d'un "sprint monumental" emmené par Jacques Anquetil en personne. Cette année là Robert Cazala avait fait un travail phénoménal pour aider le Normand à remporter son premier Tour de France. Anquetil, afin de le remercier, se mit à son service. Il déboula en tête  dans le vélodrome du parc, à fond la caisse. Il lança le sprint en plaçant  un démarrage fulgurant, Cazala dans sa roue. C'était la voie royale pour le Béarnais qui franchit la ligne d'arrivée en grand vainqueur.  Un exploit qui reste gravé dans les mémoires.

Jean Sarsiat

Un prise de parole pleine de tendresse prononcée par les petits-enfants à la mémoire de "Papy Bob" (photo ci-dessus)

Mme Marie-Françoise Vialard, pasteure de l'Eglise Protestante d'Orthez, durant son homélie (photo ci-dessous)

La prise de parole du Dr Maurice Labat (photo ci-dessus) et de René Ricarrère, maire honoraire d'Orthez (photo ci-dessous) qui ont rendu un amical et émouvant hommage

La famille dans la peine durant le chant d'adieux 

Francis Lafargue, Gérard Capdeboscq et André Darrigade (de gauche à droite) se sont longuement entretenus, après les obsèques,  avec Isabelle (la fille de Robert) et son mari Pierre Mialocq (photo ci-dessus). Ils sont allés, ensuite, saluer Philippe  (le fils de Robert).

L'orthézien Pierre Bernet, double champion de France de cyclo-cross, ami de Robert Cazala, saluant André Darrigade, ancien champion du mode et vainqueur de 22 étapes du Tour de France entre 1953 et 1966 (photo ci-dessous)

En 1959, les Francas du centre aéré de Castétarbe avaient composé cette chanson pour saluer et encourager Robert Cazala à l'occasion du passage du tour de France à Orthez. Elle a été interprétée devant le cercueil tout comme elle l'avait été le jour de l'inauguration de la rue Robert Cazala

L'armoire aux souvenirs

L'hommage de Féfé Julien, le 27 juin 2009, pour marquer les 50 ans de la prise du maillot jaune de Robert Cazala : https://www.paysdesgaves.com/article-33145102.html

https://www.ladepeche.fr/2023/02/18/disparition-robert-cazala-avait-gagne-une-etape-historique-a-saint-gaudens-11008466.php

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ARCHIVES /

Dans Sud-Ouest du 20-07-2019, le reportage de Sylvain Cottin sur Robert Cazala qui était invité à la cérémonie organisée, à Pau, pour les 100 ans du maillot jaune à laquelle participaient 24 anciens porteurs :

https://www.sudouest.fr/pyrenees-atlantiques/bellocq/robert-cazala-une-vie-dans-l-ombre-du-maillot-jaune-2536229.php

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Orthez
Isabelle et Pierre MIALOCQ,
Philippe et Berna­dette CAZALA,
François (†) CAZALA,
ses enfants et leurs conjoints ;
ses petits-enfants et arrière-petits-enfants ;
Mme Nissou DARRIGRAND, sa sœur et sa famille ;
M. Pierre (†) CAZALA, son frère et sa famille ;
parents, alliés et amis
ont la tris­tesse de vous faire part du décès de
Robert CAZALA
à l’âge de 89 ans.
Ses obsèques seront célé­brées
le mardi 21 février 2023, à 14 heures
au cime­tière protes­tant de Casté­tarbe à Orthez.
Les visites se font au funé­ra­rium d’Or­thez.

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Le journal  L'Equipe  s'est fait l'écho du décès de Robert  Cazala (photo ci-dessus) :

Ancien Maillot Jaune et vainqueur d'étape sur le Tour, Robert Cazala est mort - L'Équipe (lequipe.fr)

https://www.lequipe.fr/Cyclisme-sur-route/Actualites/Robert-cazala-une-vie-au-service-des-autres/1381673

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Le mardi 14 février, à 14h30, à la Station, à Sauveterre-de-Béarn

Eclats de vie, Eclats de foi .-   Le blog de Jean Casanave (Jan de Bartaloumè) : 

https://jeancasanave.blogspot.com/