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15 novembre 2009 7 15 /11 /novembre /2009 10:38

"Notre langue maternelle est pleine de musique et de souffle"  disait Roger Lapassade, écrivain et poète béarnais,  dont Orthez vient de commémorer le dixième anniversaire de sa disparition.

Les sonorités du parler de noste (de chez nous) donnent  du poids aux mots et de la mélodie aux paroles. 
Tout naturellement, les poèmes signés Roger Lapassade, mis en musique et chantés a cappella par Marcel Amont, et en concert au théâtre Francis Planté par Marilis Orionaa, ont été  du pur bonheur dont a pleinement profité le public présent à cette journée organisée par l'association Per Noste et la ville d'Orthez.

L'oeuvre littéraire laissée par Roger Lapassade "est un trésor" souligna Bernard Molères, maire d'Orthez, au moment de dévoiler la plaque "Roger Lapassade, écrivain et humaniste béarnais", qui complète désormais l'appellation de l'avenue des Pyrénées, face à la maison Amistat où Roger Lapassade et son épouse Marguerite vécurent durant plus de 40  ans. Cette maison dont Marcel Amont  était un familier, tout comme Marilis Orionaa (fille de Gilbert Narioo, de Balansun) qui s'y rendait en voisine et amie.

Roger Lapassade nous a  légué "un trésor", mais, lança  Marcel Amont, "cette oeuvre vivra à condition que la langue vive, celà passe donc par les calandretas (école bilingue français-béarnais), vive les calandretas !

J.S.

- Cette journée  "Roger Lapassade"  avait débuté par les communications sur sa vie et son oeuvre, autour de Robert Darrigrand et Gilbert Narioo.
-Tout au long de l'après-midi, il y eût,  au théâtre Francis Planté, la présentation d'un film (création originale de Dominique  Piollet et Jean-Paul Duchon), des chants béarnais par le choeur de Caubios-Loos et la chorale Arioso, la participation de la calandreta Ortès, une réception animée par Marcel Amont. Puis ce fut la soirée concert  dans une salle Francis Planté bien pleine.
. En 2012 la ville d'Orthez fêtera le centenaire de la naissance de Roger Lapassade.


Marcel Amont






Marilis Orionaa, accompagnée par Alexandre Laborde, un daquois virtuose de l'accordéon





























Marcel Amont et Gilbert Narioo

Marcel Amont et  l'universitaire Robert Darrigrand










Jean-Louis Chevallier (coiffé de son béret asiatique) et  son épouse Josette font partie de la chorale Arioso. Jean-Louis est également l'éminent  président de Pierres Lyriques en Béarn des gaves












Eric Gildard, Marcel Amont et René Descazeaux, avenue  des Pyrénées, devant la maison où Roger Lapassade vécut durant plus de 40 ans

C'est Jean-Pierre Darrigrand qui  a dévoilé la plaque.
On remarquera que, tout comme lo noste Roger, qui portait toujours un béret marron, Jean-Pierre a, lui aussi, préféré le marron au noir habituel 
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18 octobre 2009 7 18 /10 /octobre /2009 22:02




C
e fut une belle et émouvante cérémonie locale, organisée suite à une initiative locale,  pour mettre à l'honneur les familles de Sainte-Suzanne et des communes des alentours, qui, durant la dernière guerre, ont ouvert leurs portes et leurs coeurs à des enfants  juifs.

Certaines de ces familles d'accueil  ont  été, dans le passé, officiellement  honorées du titre de "Justes parmi les nations" par l'institut Yad Vashem, de Jérusalem, d'autres sont restées dans l'ombre, mais toutes étaient réunies dans  le souvenir et la reconnaissance,  lors de cet hommage collectif impulsé par  Bernard Molères, maire d'Orthez, et Patrick Darrieux, maire-délégué de Sainte-Suzanne.

Au cours des discours et témoignages, dans la cour de l'école et devant la mairie au pied du clocher de l'église, furent également cités,  pour leur comportement exemplaire, durant ces années 39-45,   la municipalité de l'époque et son maire Jean-Baptiste Forsans ainsi que  la communauté religieuse autour de l'abbé Lapabe, curé de la paroisse, la communauté enseignante de l'école publique du village avec les instituteurs Lucien et Marguerite Saint-Sévère, l'association protestante La Cimade née au camp de Gurs. La complicité des uns et des autres avait permis de tisser les liens d'une magnifique et exemplaire oeuvre de fraternité et de courage.

Jean-Pierre Cazenave, fils d'un ancien maire d'Orthez,  nous a rappelé que c'est l'Assistance publique de Paris qui s'occupait de placer les enfants juifs  durant cette douloureuse période. Un organisme qui a longtemps gardé son siège dans les locaux jouxtant la clinique Labat (dans l'angle de la rue Xavier-Daget et l'avenue du Pont-Neuf) : "Son directeur de l'époque, dont j'ai oublié le nom,  mériterait d'être cité, il a joué un  grand rôle. Cet Office semble avoir disparu de la mémoire des Orthéziens, il serait intéressant de retrouver les archives..." glisse JP Cazenave, présent à la cérémoniei du souvenir pour tenter de retrouver la trace de petits camarades  parisiens, qu'il avait  côtoyés lors des vacances scolaires qu'il passait dans une ferme de Sainte-Suzanne.

J.S.




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Sur la photo ci-dessus, Rosine Freiss, 79 ans, et  son mari Arthur Zaffran  (oncle d'Yvan Attal le mari de Charlotte Gainsbourg), qui habitent à Bourges, ont fait le déplacement en Béarn pour participer à la cérémonie commémorative.
Rosine fut accueillie à Sainte-Suzanne, de l'âge de 9 ans à l'âge de 14 ans,  chez Pierre et Julia Flous,  avec se deux frères, Jacques Freiss (accueilli de 1939 à 1945 chez Marguerite Lalanne) et Robert Freiss (accueilli chez Laborde-Flous).       
Jacques Freiss,  réputé chirurgien-dentiste qui a fait carrière à Paris,  était également  présent dimanche à Sainte-Suzanne,
accompagné de  son fils Stéphane Freiss, acteur de cinéma et de theâtre bien connu (photos ci-dessous)


































La plantation d'un chêne vert




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14 octobre 2009 3 14 /10 /octobre /2009 10:51

Notre photo : Eric Gildard, lors d'une récente rencontre avec l'abbé Bégarie (dont le nom de plume est Georges Saint-Clair),  à la maison du poète  Francis Jammes  à Orthez

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Eric Gildard a deux amours. Orthez et Hossegor. Orthez sa ville d'adoption à laquelle il a consacré une dizaine de livres. Hossegor, sa ville natale où il s'est récemment retiré.

Installé  dans sa villa familiale de la cote landaise, Eric Gildard a créé et  préside l'association littéraire des Amis du lac d'Hossegor.  
En 2 ans,  il a déjà écrit 3  livres sur cette station. 
Après  "Alfred Eluère, le destin d'Hossegor" et  "100 ans de littérature à Hossegor",  "Rosny jeune"   vient de sortir de l'imprimerie ICN d'Orthez.
Eric Gildard y raconte l'histoire de Rosny,  fondateur de l'académie Goncourt,  amoureux d'Hossegor,  qui a tant fait pour le renom de cette belle  ville. Il évoque également comment "les arts et les lettres grâce à la beauté du site ont servi de tremplin à la renommée de cette ville devenue une station élégante appréciée pour  son bien vivre". 

L'auteur nous a adressé, avec une chaleureuse dédicace,  ce  livre qui passionnera tous ceux, fort nombreux,  qui apprécient Hossegor. Et nous nous faisons un plaisir de le recommander aux  internautes du "pays des gaves" qui pourront se le procurer (14€) auprès des Amis du lac d'Hossegor dont l'adresse est inscrite  au bas de cette page.

Pour promouvoir la culture, resserrer les liens d'amitié et favoriser les échanges, dans le Sud-Ouest, c'est la tradition,  on se réunit autour d'une bonne table. C'est ce que fait l'association des amis du lac d'Hossegor, la bien nommée.

Voici le programme invitation du grand rendez-vous convivial de la rentrée littéraire ... et gastronomique :



Grande soirée gastronomie d’automne

 Jeudi 5 novembre 2009 à 19 h *

Autour d’un fabuleux repas « Palombe grillée »...

 

 

C’est la soirée gastronomique de l’année qu’aucun amoureux de la cuisine landaise ne voudra manquer ! Le rendez-vous « palombe » du Tuquet est si renommé que l’an dernier il affichait complet, et que l’on y vient de très loin, du Gers et de Bordeaux... Les Amis vous proposent cette soirée unique qui verra par la même occasion la présentation du livre contenant toutes les communications faites au colloque des « Cent ans d’histoire des landes autour du lac ». Les onze auteurs sont invités pour commenter leur travail et pour dédicacer l’ouvrage de plus de 250 pages, qui sera vendu exceptionnellement ce soir là (c’est encore un cadeau) : 5 euros !

 

Programme général : Rendez-vous au restaurant à 19 h

 

Autour du verre de l’amitié, présentation de la soirée

Puis de l’ouvrage et des auteurs. Dédicaces.

 

 

Diner : Menu fête d’automne

 

                * Garbure landaise et son savoureux accompagnement

                  * Jambon Serrano – Pâté Basque - Bouquet de salade

                  * Palombe grillée au feu de bois, flambée au Capucin !

                  * Charlotte aux pommes avec son coulis d’abricot…

                  * Café  * Vin rouge spécial choisi par le « Tuquet »

 

------------------------- Fiche à renvoyer avec le paiement à l’adresse des Amis ci-dessous  ------------------

 

 BULLETIN D'INSCRIPTION

 

Nom : ……………………………….…….Prénom : ……………....………….

 

Adresse : ……………………….…..……………………………..…………….

 

Portable : ……………………………. e-mail : ………………..………………

 

Nombre de personnes : ...…..…..…… x 30 euros = ……….………….……….

 

Le ………………..…………...…… Signature …………….………………….

 

* Le restaurant le « Tuquet » est situé en bordure de route d’Hossegor entre les communes d’Angresse et de Saint-Vincent de Tyrosse ; Il possède un parking et il est d’accès très facile.

Covoiturage possible pour les personnes sans permis, sans voiture, ou qui veulent faire la fête...

 

 

Joindre le paiement (à l'ordre des Amis du lac) à ce bulletin et l'adresser au plus tôt à :

Amis du lac d'Hossegor – Soirée gastronomie

23 Ave Ed. Rostand  40150  Hossegor - 05 58 43 42 40 - e-mail : eric.gildard@orange.fr



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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 11:38


 


Une rue porte désormais le nom de Jean Vivant. Et pas n'importe laquelle. Il s'agit, en effet, de la voie parallèle à l'avenue de Navarre qui mène au fronton et au lac,  qui s'ouvre sur un espace naturel et vert, une zone protégée et inconstructible.

Accompagné de son épouse Jacqueline et de sa famille, Jean Vivant a participé à l'inauguration de sa rue, en présence de Georges Feterman, naturaliste de renom international, qui était, la veille, l'invité d'honneur des journées du livre d'Orthez.

Bernard Molères, maire et conseiller général d'Orthez , rendit un vibrant hommage à Jean Vivant tandis que Georges Feterman s'inclina devant
"le travail monumental du savant orthézien qui est un des pères de la connaissance de la nature".

Bernard  Molères aborda  l’aménagement à venir de cette voie. Deux projets se préparent en effet pour lui conserver un caractère emblématique : la plantation d’une série d’arbres remarquables par le Lycée agricole (et pourquoi pas des Chênes verts, arbres qu’aime Jean Vivant et auxquels il a consacré plusieurs communications), l’installation de boîtes-blocs à insectes par le Conseil Municipal des Jeunes.

Et peut-être aussi, selon le souhait  exprimé par Mme Vivant, un espace spécifique dévolu aux travaux et recherches de son mari.










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12 octobre 2009 1 12 /10 /octobre /2009 08:39

LES 14° JOURNEES DU LIVRE



Les plumes de Fébus 2009

Grand prix du jury :  Ladislas de Hoyos pour "Scoops et flops" aux éditions Yago
Prix spécial du jury : Bernard Vincent pour "Lincoln" aux éditions Timée

Prix de la révélation : Karine Bordenave-Richard et Per Noste, pour la traduction de Harry Potter, "Harry Potter e la peira filosofau" éditée par Per Noste


Clin d'oeil du jury : Robert Darrigrand  pour "Roger Lapassade le béarnais en action" édité par Per Noste

Clin d'oeil du jury : Gérard Fauconnier  pour "Jean Labbé, poète, écrivain et marin. Sa vie. Son oeuvre" édité par ICN/Gascogne

Prix des lecteurs 2009, roman : Eric Mailharrancin pour  "Les oubliés du chemin des Dames" édité chez Elkar


Prix des lecteurs 2009, poésie et nouvelles : L' Atelier d'écriture du Centre Socio Culturel pour ses 3 fascicules contenant 11 nouvelles

Les lauréats de "Paroles de la Cité"


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Les quatre années paloises de l'épouse d'Abraham Lincoln 
Bernard Vincent a présenté son livre  sur Abraham Lincoln, élu à la maison Blanche en 1860,  dont on célèbre cette année le 200° anniversaire de sa naissance.
Il se trouve que Marie Lincoln, la veuve du président, passa 4 années à Pau (de septembre 1876 à octobre 1880). Bernard Vincent n'a rien pu  retrouver  sur cette période paloise de l'ex-première dame des Etats-Unis.
Si des personnes ont des informations (lieu où elle résida, ses fréquentations, les raisons de sa venue à Pau, etc), qu'elles n'hésitent pas à nous contacter...

MICHELET  ET  FRANCIS JAMMES
Invité d'honneur de ce salon du livre 2009, l'écrivain Claude Michelet a retrouvé, au stand Francis Jammes,  un ami de sa famille, le Dr Maurice Labat.
Le grands parents de Claude Michelet,  étaient propriétaires d'une épicerie fine (Félix Potin) à Pau et recevaient souvent Francis Jammes dont ils appréciaient  l'oeuvre littéraire.
Le père de Claude Michelet, Edmond Michelet qui fut ministre du général de Gaulle "était un fin lettré et aimait réciter des poèmes de Francis Jammes" se souvient Maurice Labat.




GILLES COIGNUS NOUVEL INSPECTEUR DE L'EDUCATION NATIONALE
Lorsque Gilles Coignus, nommé inspecteur de l'Education Nationale à Orthez depuis septembre, et Robert Dassance, président de l'Elan Béarnais football, se rencontrent à l'inauguration des journées du livre (photo ci-dessous), de quoi parlent-ils ?
De football, bien sûr ! Gilles Coignus fut, tout le monde s'en souvient, un des leaders des "vert  et blanc" , de 1978 à 1992, au poste de milieu de terrain puis de libéro.


ICN imprim'vert

'Imprim'vert, le livre recyclé par ICN Orthez"  : c'est la mention que l'on peut lire dans un des derniers livres imprimés chez Jean-Paul Lafont et Alain Gahat.

ICN, toujours à la pointe du progrès,  se met à la page du développement  durable

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OSSAU : clins d'oeil de Jacques Canet
 
Amoureux de la vallée d'Ossau, Jacques Canet nous fait partager "son petit coin de paradis" à travers un recueil de textes et photos que nous avons  grand plaisir à feuilleter pour découvrir et redécouvrir  ces paysages de rêves qui s'offrent à nous, près de  chez nous.
"On va parfois chercher à Hollywood ce qu'on trouve aux Lacs d'Ayous, au quotidien" glisse l'auteur de ce livre qui est un coup de coeur pour nos belles Pyrénées.
La présentation de l'ouvrage aux journées du livre s'accompagne d'une exposition de photos (signées Jacques Canet) que l'on peut voir dans la vitrine (voir deux photos en fin de reportage) de l'ancienne boutique de l'Elan Béarnais, à la Moutète.
Dès la première journée, Jacques Canet a vendu tous ses livres (photo ci dessus),  mais dès le lendemain ICN l'a,  de nouveau,  ravitaillé.  L'ouvrage est en vente (13€) dans les librairies de la ville
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Le salon des rencontres



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UN PETIT TOUR DU SALON EN IMAGES  











































































L'expo Jacques Canet, à la Moutète, dans la vitrine de l'ancienne boutique de l'Elan Béarnais

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Gérard Fauconnier livre Jean Labbé

La veille de l'ouverture des journées du livre, Gérard Fauconnier a présenté dans l'ancienne salle à manger de Francis Jammes, à la maison Chrestia (future maison d'écrivain ?), son volumineux recueil de 600 pages : "Jean  Labbé poète, écrivain, marin. Sa vie, son oeuvre" (éditions Gascogne), préfacé par Georges Saint-Clair.
Petit-fils et petit neveux par sa mère des célèbres frères Reclus qui figurent tous les cinq dans le Grand Larousse, issu par son  père d'une lignée de grands médecins, Jean Labbé a bien connu Francis Jammes qui était souvent l'hôte de la famille Labbé-Reclus au château d'Orion.

Jean Labbé (1912-1985) qui voua sa vie à la marine, à l'enseignement et à l'écriture, s'était retiré dans la demeure familiale du château d'Orion avec son épouse Marguerite, fille unique de Léon Bérard. Cette dernière  était présente aux côtés de l'abbé Bégarie ("Georges Saint-Clair") et de nombreux invités à la présentation du livre de Gérard Fauconnier.

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5 octobre 2009 1 05 /10 /octobre /2009 10:39


La foire exposition d'Orthez n'a rien perdu de son attractivité.

En poursuivant son évolution  en direction de la promotion des produits du terroir et d'une agriculture de qualité, en mettant en vitrine et en scène  l'esprit créatif des entreprises locales, en accentuant une bonne et indispensable information sur les économies  d'énergies, la foire d'Orthez  est sur la bonne voie. Elle a trouvé le bon créneau.

 Malgré celà, il y a eu, cette année,  moins de monde que d'habitude. Chacun y va de son petit  commentaire : certains disent que c'est  la faute à la crise, d'autres  parlent  de concept qui a besoin d'être renouvelé, et  je ne sais quoi encore !

Et si c'était tout simplement à cause d'un mauvais hasard dans le  calendrier des festivités en Béarn des gaves ?
Cette année il y avait, en effet,  en même temps,  la foire expo d'Orthez et la fête du maïs à Laas qui fêtait sa dixième édition.
Deux manifestations importantes distantes de 20 km seulement !
Rappelons que la fête du maïs  c'est  le défilé parade  de tracteurs et matériels agricoles anciens,  la présentation sur le terrain de 55 années de culture de maïs (depuis la récolte à la main jusqu'à la moissonneuse-batteuse dernier cri), la batère à l'ancienne, les olympiades du maïs, la fête des fruits, diverses expositions et animations. Tout cela  dans le magique parc du château et les terrains agricoles annexes...

Organiser le même jour la foire exposition à Orthez et la fête du maïs à Laas, n'est-ce pas  dommageable pour les deux manifestations ?

J.S.



 L'ouverture de la foire-exposition a eu les faveurs du ruban tricolore. Bernard Molères, maire d'Orthez  et vice-président du Conseil Général, a donné le coup de ciseau,  entouré, de gauche à droite,  de Pascal Kholler, directeur général des services de la ville d'Orhez,  Emmanuel Hanon, premier adjoint au maire chargé des finances, Xavier Klein, adjoint au maire, président de la foire-expo, David Habib, maire de Mourenx et député de la circonscription d'Orthez



Xavier Klein qui s'est beaucoup dépensé dans l'organisation de la foire, semble apprécier

Daniel et Jacques ne vont pas rentrer à la maison les mains vide. Nous les avons surpris devant le stand à bijoux








Venus de Salies-de-Béarn avec leurs amis, Noëlle et Marc ont choisi la foire-expo pour enterrer leur vie de jeune fille et de garçon.


Charles et Valentina à l'accordéon...

Ginette a sorti une bonne bouteille de Vodka  de derrière les fagots


Le fromager-crémier Pascal Peyrusaubes, de retour à la Moutète, pour la foire, cinq ans après "l'expulsion des halles".
Sa spécialité : traiteur à base de fromages  pour buffets et cocktails. Tous les mercredis on le retrouve à la cave d'Angèle. 


Salies-de-Béarn en orange et Sauveterre-de-Béarn en vert. : une belle démonstration de jeux béarnais













Difficile  de s'approcher du rûcher école de l'apiculteur Casimir Santolaria. Le public s'est montré très intéressé.

Défilé de mode : un joli succès !




























L'organisation de cette édition 2009 a été parfaite  : Murielle affiche un éclatant sourire, Gaby et Eric  sourient aussi, ...  mais intérieurement.






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27 septembre 2009 7 27 /09 /septembre /2009 23:26


Le Lieutenant Bernard Leugé ( photo ci-dessus) a pris le commandement du centre de secours et d'incendie d'Orthez (succédant au major Laborde qui a assuré l'intérim),  et le lieutenant-colonel Patrick Geisler (photo ci-dessous) a pris le commandemant du groupement/est  dont le siège  est installé  à Orthez.

Reportage en cours de mise en page (à suivre)











































































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22 septembre 2009 2 22 /09 /septembre /2009 16:08

Derrière la gare d'Orthez, c'est la désolation. Sur les deux rives du gave, reliées par une passerelle type Eiffel,  des hectares de terrain sont à l'abandon et de nombreux batiments industriels en piteux état.

Jouxtant le site de la gare les anciens bâtiments de la CTA (Chaudronnerie et Tuyauterie d'Aquitaine), entreprise dont l'activité était liée au complexe de Lacq, qui occupa jusqu'à  200 salariés,  et  l'ancienne usine de caoutchouc industriel (qui avait une vingtaine de salariés), ont,  dans les années 80,  fermé leurs portes. La CTA avait été reprise  par la CITBA qui quitta Orthez pour Arthez-de-Béarn.

Plus récemment, c'est la minoterie Destandau, la papeterie SAPSO, les ateliers de confection Moncade et Jerdac  qui ont cessé leurs  activités laissant complètement à l'abandon un important patrimoine de bâtiments industriels. 

Nous avons retrouvé dans nos archives un reportage de la CCI, datant du début des années 80,  qui faisait le point,  dans une brochure intitulée "Orthez-Bassin de Lacq",  sur  l'activité économique d'Orthez-Salies .
Sous le reportage photo ci-dessous, nous avons reproduit cet article qui apporte un éclairage sur un passé pas si lointain, et qui témoigne de la vocation industrielle d'Orthez, au centre du département des Pyrénées-Atlantiques, au coeur du bassin Lacq-Orthez en pleine mutation. 


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Derrière la gare : les anciens bâtiments de chaudronnerie industrielle liée au complexe de Lacq, et l'ancienne usine de caoutchouc








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LA MINOTERIE DESTANDAU ET SES ANNEXES SONT A L'ABANDON











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Le site de la SAPSO avec ses bâtiments en enfilade, le long du gave, relié à la zone industrielle de la gare par une passerelle, tombe en ruine...
















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En bordure du chemin du Pesqué,  les logements de fonction de l'ancienne SAPSO : la désolation !





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Dans le prolongement de la SAPSO, les ateliers JERDAC et MONCADE attaqués par les herbes folles, les ronces... et les vandales  !








Les Ateliers de Moncade à l'entrée de la zone industrielle des Saligues sont ouverts aux quatre vents.






Une réserve foncière de quelque 15 à 20 hectares autour de la gare, de part et d'autre du gave de Pau, des friches industrielles reliées par la passerelle de l'ancienne SAPSO.
En bas à gauche, dans le prolongement des hangars de la SAPSO il y a les sites de Jerdac et Ateliers de Moncade qui n'apparaissent pas sur la photo
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L'activité industrielle d'Orthez-Salies, au début des années 80, présentée à l'époque par la CCI

Nous reproduisons, ci-dessous, un article émanant de la CCI (Chambre de Commerce et d'Industrie), retrouvé dans nos archives,  et faisant le point sur l'activité industrielle dans les cantons d'Orthez et de Salies-de-Béarn.  C'était en 1980

"Les cantons d'Orthez et de Salies-de-Béarn ont toujours figuré parmi les foyers industriels du Béarn. Ils n'ont cependant pas échappé à une importante mutation qui a vu disparaître bon nombre d'entreprises appartenant aux secteurs traditionnels du bois, du textile et de la chaussure et  qui, dans le même temps, a vu  apparaître des activités nouvelles, essentiellement dans les domaines  mécaniques et connexes.

Le meuble
Contrairement à ce qui s'est passé pour la chaussures, le meuble a maintenu une très importante activité. Orthez est toujours considéré comme le centre du meuble rustique régional de qualité, avec deux chefs de file que sont les Ets Ros et Circoncision (130 personnes à eux deux).
Une entreprise, en plein développement,  s'est déplacée d'Orthez à la commune voisine de Castétis : la société Bareille qui approche les 50 salariés et produit des meubles massifs de style campagnard.
A Salies les Ets Lansalot dont ler siège social est à Navarrenx, possèdent une usine occupant 80 personnes. (
Entre Navarrenx, Oloron et Salies Lansalot emploie près de 600 salariés).

Le siège 

De création plus récente que les entreprises d'ébénisterie, le Bois Béarnais s'est rapidement forgé une excellente image de marque dans la fabrication de chaises. Son effectif a même approché les 300 personnes. Des difficultés ont surgi à partir de 1974 et l'avenir de cette société s'est trouvé gravement  compromis. Elle a finalement  été reprise par le groupe Pelletey et occupe actuellement 150 personnes, ce qui la maintient en tête des industries de l'ameublement dans les deux cantons.

La literie

Occupant actuellement une cinquantaine de personnes, la société Treca (sommiers et matelas) venue s'installer à Salies en 1977 a permis de compenser une partie des nombreux emplois perdus dans la chaussure.

L'exploitation forestière

Une entreprise est installée à Bérenx : la société orthézienne d'exploitation forestière.

L'industrie textile

Le secteur traditionnel du tissage est essentiellement représenté à Orthez par les Ets Moutet spécialistes du linge de maison. Avec un effectif de 160 personnes, ils sont, de loin, la première entreprise du département dans ce secteur et l'une des premières de France.

A cette branche  traditionnelle est venu s'ajouter celle de la confection avec la création de trois établissements qui ensemble occupent déjà plus de 100 personnes : Moreau, Ateliers de Moncade et Jerdac-Demazières.

La chaussure

C'est le secteur qui a subi la plus profonde mutation.

A Salies : Les 5 principales entreprises s'étaient regroupées pour créer la société CHASAL dont l'effectif avait atteint 500 personnes. Ce nouveau groupe a ensuite connu des difficultés et a été repris par la société des chaussures André. Cette dernière a, peu à peu, diminué ses activités pour finalement abandonner Salies en 1976.

L'activité chaussures est toutefois maintenue par la société "Les chaussures Basco-Béarnaises", filiale d'une société d'Hasparren, installée en 1977  et occupant 150 personnes et par la société DALTY qui en compte 20.

A Orthez: La crise de la chaussure a égalemen sévi à Orthez avec la disparition de deux importantes usines : Cazenave et Béarn-Chaussures.
La société Girard a pu se maintenir avec un effectif de 80 personnes travaillant exclusivement en sous-traitance pour le groupe RAUFAST. Ce dernier, l'un des leaders de la chaussure en France, a permis la création à Puyoo, en 1974, de la SPAC (Société Puyolaise d'Articles Chaussants) dont l'effectif dépasse  les 100 personnes.

L'industrie agro-alimentaire

Les salaisons
: Les charcutiers d'Orthez se sont spécialisés dans le marché du jambon de Bayonne. Les plus connus sont les Ets Camy et Dugert.
La société Camy a été reprise voici 3 ans par un important salaisonnier de la région lyonnaise, les Ets Chevallier qui ont créé sur la zone industrielle d'Orthez une unité très moderne et fonctionnelle de production de jambon de Bayonne.

Charcuterie-conserves: Les Ets Jean Récapet ont  repris dans le canton voisin de  Sauveterre-de-Béarn,  la conserverie Muthular :  280 salariés (moyenne d'âge 35 ans).

Meunerie-boulangerie: La minoterie Destandau occupe à Orthez une trentaine de personnes. Les boulangers d'Orthez se sont regroupés pour créer, en 1972, une unité de fabrication commune,  à la zone industrielle : "l'Epi Béarnais".

Boissons: La brasserie Schneider à Puyoo maintient une activité locale dans le domaine de la bière et des sodas.

La coopérative de Salies/Bellocq  draine la majeure partie de la production viticole des coteaux de Salies et de Bellocq.

Alimentation de bétail, grains et céréales: A Baigts-de-Béarn, les Ets Guyomarc'h occupent une quarantaine de personnes. Cette unité de production d'aliments pour le bétail avait été créée  par la minoterie Destandau.
A Bonnut les Ets Labaigt exercent leur activité de collecte de grains.

Mécanique, électricité et électronique: L'essor industriel de Lacq a amené à Orthez la création de la CTA (Chaudronnerie Tuyauterie d'Aquitaine) et d'une agence du groupe COMSIP-Automation.
Actuellement la COMSIP emploie 200 salariés et la CTA disparue a été reprise par la CITBA (Chaudronnerie Industrielle du Bassin de l'Adour) qui a maintenu 120 emplois.

Parmi les sociétés de moindre importance citons : la DAR à Orthez (10 personnes), Pyrelem à Puyoo (30 personnes). Ces deux entreprises sont spécialisées dans la production d'appareils de pyrométrie et de séchage de l'air.

MECASUD, entreprise de sous-traitance mécanique implantée à Orthez emploie 20 personnes.
START informatique, récemment implantée à Salies, emploie déjà 35 salariés dont 6 ingénieurs,  et devrait connaître un développement intéressant dans le domaine de l'électronique appliquée.
La CREB, installée rue Saint-Pierre à Orthez a deux activités : fabrication de clôtures électriques (15 personnes) et électricité générale (20 personnes).

Papeterie: la SAPSO emploie à Orthez 90  salariés et possède d'autres établissements, notamment à Beaulac et à Casteljaloux. Ses activités principales sont la fabrication  de papier, d'emballages en carton ondulé et d'emballages en polystyrène expansé.

Artisanat d'art: Les Ets Goardères (90 salariés) sont spécialisés sont spécialisés dans le travail du fer forgé, du cuivre et de l'étain.
Les Ets Géraud-Lafitte (40 salariés) sont spécialisés dans la tonnellerie d'art.
Ces deux unités implantées à Orthez ont une activité non négligeable à l'exportation.

Matériaux de construction et carrières: Il convient de citer : la société des Chaux et Ciments d'Orthez ; Béton Moderne à Orthez ; les Ets Barrué et Béton Orthez Service .
Les platrières de France, à Carresse-Cassaber emploient 42 salariés.

Transports: Parmi les diverses entreprises, il faut signaler les transports Lucien Destandau qui sont spécialisés dans le transport des meubles neufs.

Caoutchouc-chimie: A Orthez , la société Techni-Plastgom-Production (fabrication de caoutchouc industriel) occupe une vingtaine de salariés.
En 1980 Orthez verra le démarrage de la société Galor (produits de base pour l'industrie des cosmétiques) dont l'effectif approche la centaine de personnes.

Bâtiments préfabriqués: A Orthez les  Ets Etcheverry (10 salariés) montent des bâtiments préfabriqués et équipés intérieurement, destinés à l'élevage, notamment aux porcheries.

Conclusion : A ce jour il semblerait que Salies ne soit pas encore complètement remis de la quasi disparition de ses fabriques de chaussures, mais Treca et Start-Informatique apportent une heureuse diversification  à une mono-activité industrielle.
L'activité plus diversifiée d'Orthez laisse augurer d'un bon avenir économique et devrait mettre la région à l'abri d'une grave crise de l'emploi. "

C'était au début des années 80. La plupart de ces industries  qui tentaient de résister ont disparu.
Comme le souligne aujourd'hui  la CCI, à juste titre,  et avec force de conviction,  l'arrivée de la future LGV en Béarn sera génératrice d'activités nouvelles, donc de créations d'emplois. Effectivement, en surfant sur le web, on s'aperçoit que la proximité d'une gare LGV favorise incontestablement le développement économique.

L'arrivée de la LGV en Béarn, à Orthez et à Pau, est donc un rendez-vous à ne  pas manquer. C'est l'avenir de nos enfants et petits enfants qui est en jeu.

Ceux qui veulent effacer Orthez de la carte LGV, pour gagner seulement 10 minutes sur un trajet Pau-Paris,  prennent un lourde, très lourde responsabilité
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16 septembre 2009 3 16 /09 /septembre /2009 20:10

Plus que de longs discours, ces photos  prises en gare d'Orthez, montrent l'importance et l'utilité des arrêts TGV dans ce coin de Béarn, au centre de Pyrénées-Atlantiques.

Et il suffit d'interroger notamment les étudiants en partance vers Bordeaux, Tours ou Paris, pour se rendre compte à quel point  ils tiennent à leur TGV. Ils se disent même prêts à monter au créneau pour se faire entendre et comprendre, si par cas il était envisagé,  à l'avenir, de supprimer ce service public, et  d'obliger  ainsi les  étudiants et autres usagers à aller chercher une gare TGV, 40 ou 50 km plus loin .

Dans le Béarn des gaves  et la Soule voisine,  la mobilisation et la détermination sont sur la bonne voie, avec le souci d'éviter  certaines querelles et bisbilles politiciennes et personnelles  qui n'ont d'autre  finalité que de court-circuiter la gare d'Orthez.

Au plan politique, un large consensus se dégage en faveur d'Orthez au coeur du bassin Lacq-Orthez Béarn des gaves et pays de Soule.
Les  sections  du Parti socialiste d'Orthez et  de Mauléon-Soule demandent clairement que la future LGV passe par Orthez.
Idem pour le Modem tout comme  la section cantonale d'Orthez du parti radical,
 qui apportent  tout leur  appui au collectif LGV-Orthez-Oui conduit par René Ricarrère, conseiller régional et ancien maire d'Orthez.

Le conseil municipal d'Orthez , sous l'impulsion de son maire Bernard Molères, et du premier adjoint Emmanuel Hanon,  a déjà voté,  à l'unanimité, une motion pour demander que la ligne Dax-Orthez-Pau soit inscrite dans le dispositif LGV "avec passage et arrêt  des TGV à Orthez".  Une motion contenue sur une page dans laquelle  à quatre reprise il est fait mention de développement  (développement économique du pays d'Orthez, développement économique du Béarn, développement des voies de communication, développement de la gare d'Orthez et de celle de Puyoo).
La communauté de communes de Sauveterre-de-Béarn a également délibéré en faveur de la gare LGV d'Orthez et de nombreuses autres communes  ont pris ou sont en train de prendre la même initiative en votant un texte soumis par le collectif qui, par ailleurs, a déjà  dépassé  le cap des 1000 signatures !

Pour la clarté du débat, rappelons qu'il n'y a pas comme certains le disent, un projet de tracé qui passerait par Pau et un autre qui passerait  par Orthez..
-Il y a un projet défendu par la CCI de Pau-Béarn et par quelques leaders politiques départementaux (qui apparemment ne sont pas suivis par leur base)  qui passe par Pau  mais  qui laisse Orthez de côté.
-Il y a un projet impulsé par le collectif et qui fédère de plus en plus de monde, de tous bords et de tous horizons,  qui passe par Orthez ET  par Pau.

"La LGV un rendez-vous historique"

Le collectif va prochainement se transformer en association. L'un de ses membres, Jean-Alain Laplace, chef d'entreprise, président d'honneur de Lacq-Plus, prépare un dossier économique pour ouvrir  des perspectives, dans le cadre de la future LGV. Des pistes dont pourraient bénéficier  les friches industrielles du secteur de la gare d'Orthez..
Profondément attaché à sa ville d'Orthez et au bassin industriel Lacq-Orthez-Béarn des gaves, Jean-Alain Laplace, estime que, dans l'esprit d'un aménagement cohérent du territoire,  Orthez "a un rôle de territoire médian à jouer entre Pau et Bayonne au centre du département". Et d'ajouter : "Dans les années 60, avec le gisement de Lacq, Orthez a loupé un important rendez-vous.  La LGV nous offre l'occasion d' un deuxième rendez-vous avec l'histoire. Je serais désolé de le rater !"

Ne le ratons pas !

J.S.

Pour voir le reportage photo sur les friches industrielles ainsi qu'un article  de la CCI datant du début des années 80, portant sur le l'activité industrielle d'Orthez-Salies, cliquer ici  :
GARE D'ORTHEZ : DES HECTARES DE FRICHES INDUSTRIELLES QUI NE DEMANDENT QU'A REVIVRE !







Dimanche, que ce soit à 15 heures ou à 18 heures, il y avait  beaucoup de monde à l'arrêt TGV en gare d'Orthez.


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ECONOMIE : LES DEUX IMPORTANTES  RENCONTRES DU   COLLECTIF EN JUILLET DERNIER



Petite piqûre de rappel : le collectif lgv-orthez-oui, a rencontré le 2 juillet dernier, à Lacq, François Virely, directeur de la SOBEGI et président de Lacq-Plus ce qui a donné lieu, en présence de Jean-Alain Laplace, président d'honneur de Lacq-Plus,  à un échange fructueux sur le bassin d'emploi  Lacq-Orthez et le futur tracé de la LGV.

Le 30 juillet, c'est Frédéric Perrière, directeur des études à Rédeau Ferré de France qui a été accueillir par le collectif pour visiter la gare et prendre connaissance des friches industrielles autour de la gare, sur les deux rives du gave, qui pourraient ouvrir des perspectives de développement économique.
Frédéric  Perrière, répondant aux questions des journalistes, affirma que "Pau-Bordeaux" en 35 minutes c'est impossible.

A Lacq, rencontre du collectif avec François Virely, directeur de la SOBEGI et président de Lacq-Plus


Frédéric Perrière, directeur des Etudes à Réseau Ferré de France, venu visiter la gare d'Orthez et les friches industrielles,  à l'invitation du collectif








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EN GARE D'ORTHEZ UN  VENDREDI APRES-MIDI

Quelques clichés qui traduisent la vitalité de la gare du païs d'Ortes






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7 septembre 2009 1 07 /09 /septembre /2009 07:56







Enfin les journées du patrimoine portées par l'action des associations de la ville, permettront également des visites de sites, là aussi gratuites, des parcours ludiques dans la cité et diverses animations qui ponctueront ce week-end

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